Maquillage
Sourcils: 7 problèmes, 7 solutions
À chaque problème de sourcils sa solution Photographe : istockphoto.com
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Sourcils: 7 problèmes, 7 solutions
Au rayon maquillage, on peut dire que les sourcils trônent au top de nos préoccupations par les temps qui courent. Que faire quand ces derniers nous donnent des maux de tête? Pascale Grenier, la pro des sourcils du Local B, nous donne quelques pistes.
Sourcils clairsemés
On commence à utiliser un sérum formulé spécialement pour favoriser la repousse des cils et des sourcils. Puis, on sort notre poudre (pour un fini translucide) ou notre crayon pour combler les trous, en traçant de fins traits, pour imiter les poils.
Sourcils fins
On étend de la cire à sourcils sur les endroits où on voudrait épaissir les poils, puis on applique de la poudre par-dessus à l’aide d’un pinceau en biseau. L’aspect du sourcil est ainsi plus dense et plus fourni. On peut aussi en tracer quelques-uns à l’aide d’un crayon. Mais dans un cas comme dans l’autre, on évite d’avoir la main trop lourde, au risque d’avoir un air de famille avec Krusty le clown...
Sourcils trop écartés
On peut utiliser poudre et crayon pour allonger la ligne, mais avec parcimonie. On ne rajoute pas un centimètre de poudre sur de la peau nue, mais on peut tracer au crayon quelques traits.
Sourcils broussailleux
S’ils sont longs et épais, on taille. On peigne d’abord nos sourcils dans le sens de leur pousse naturelle avec une brosse à goupillon, puis on coupe les poils un à un en dégradé avec de petits ciseaux conçus à cet effet. En touche finale: un soupçon de gel ou de cire.
Sourcils clairs ou blancs
Dans ce cas, le gel à sourcils coloré imperméable est notre meilleur ami. On le choisit de la même couleur que nos poils, ou un ton plus clair. Pas de poudre ni de crayon qui pourrait s’effacer.
Deux erreurs à éviter
«L’erreur la plus commune est d’utiliser des produits colorés trop foncés qui donnent un air sévère. Rien que le fait de colorer les endroits clairsemés fonce automatiquement le sourcil. Et surtout, on arrête d’épiler à outrance», nous rappelle Pascale Grenier.
